L’objectif de l’atelier est de repenser les moyens de diffusion des films au sein et à l’extérieur de l’association.

On commence avec l’atelier Diffusion

Trois objectifs parallèles ont été définis  :

• Répertorier les lieux et les moyens de diffusion existants afin de constituer un large catalogue visant à faciliter la diffusion des films documentaires.
• Engager des discutions avec des professionnels autour de la question de la diffusion dans le but de dresser un état des lieux des conditions et des possibilités de diffusion aujourd’hui.
• Traiter la question de la diffusion par des cas concrets de programmation et nouer des partenariats.

Pour rejoindre l’atelier, vous pouvez écrire à atelier_diffusion@framalistes.org

On poursuit avec Diff’Addoc

L’atelier Diff’Addoc travaille à la création d’une base de données pour centraliser et analyser de nombreuses informations sur les projections publiques de films documentaires.

L’objectif : mettre en évidence, de manière concrète et chiffrée, la vitalité du documentaire dans sa relation avec le public. Plusieurs bases de données répertorient déjà des informations sur les réalisateurs, les producteurs, les films, mais aucune ne lie chaque film à une projection, un lieu et un organisateur. Notre projet mettra en lien ces nouvelles données pour analyser cette diffusion plurielle du documentaire.

Nous travaillons en relation avec Documentaire sur grand écran, la Maison du doc et Images en bibliothèques, partenaires d’Addoc via le RED, motivés par le projet et déjà confrontés au travail sur les bases de données.

Les prochaines étapes du projet :

• rencontrer un professionnel des bases de données qui puisse répondre à nos interrogations sur le plan technique et nous aider à concevoir un outil facile à exploiter,
• préciser les moyens nécessaires pour utiliser des bases de données déjà existantes,
• définir comment et sur quelle motivation les différents acteurs pourraient mettre régulièrement à jour les informations qui les concernent,
• rechercher des financements appropriés à un tel projet,

Un tel recensement pourrait permettre de revendiquer de meilleurs équipements, d’augmenter le nombre de lieux de projections, et pourquoi pas solliciter une nouvelle forme de financement à la réalisation des films non plus “hors diffuseurs” mais pour “diffuseurs buissonniers” !