Aux voleurs d’images, le cinéma documentaire oppose une éthique fondée sur le respect de la personne et un rapport de confiance mutuelle. Mais l’éthique, fait-elle le poids face à l’évolution des rapports entre la population et les médias ? Comment peut-on la définir ?

En 2006 Addoc a initié un travail de défrichage des règles et des pratiques du droit à l’image. D’abord nous avons conçu et diffusé un questionnaire destiné à évaluer la manière dont les réalisateurs intègrent dans leurs pratiques le droit à l’image. La deuxième étape a été celle de l’analyse critique et de la synthèse des réponses au questionnaire.

L’objectif de cet atelier était d’identifier les principaux problèmes de droit à l’image rencontrés lors des tournages et de proposer des éléments de réponse juridique et éthique.

En collaboration avec des avocats spécialistes du droit à l’image nous avons confronté la pratique à la réalité du droit et à la jurisprudence.

Ce travail a été mené avec la collaboration des avocats Brad Spitz et Jean-Louis Langlois.

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