À ma place, de Jeanne Dressen

Figure emblématique d’un mouvement social resté dans les mémoires, Savannah, 25 ans, doute, rêve, lutte et apprend.
De Nuit Debout à l’Ecole Normale Supérieure, elle se cherche une place et un avenir.

Ricardo Cavallo, d’Isabelle Rèbre

« C’est quoi ton cadre ? », en interpellant ainsi Ricardo Cavallo dès les premières minutes de son film, Isabelle Rèbre embarque les spectateurs dans une mise en abîme.
Cavallo à l’œuvre sur le motif devient ici le modèle de la cinéaste.

Athenian Material, de Laure Vermeersch

Réaliste et poétique, le film de Laure Vermeeersch, nous entraine dans un autre monde : celui des déchets qui prolifèrent au rythme de notre surconsommation.

Grand fond, de Gilles Weinzaepflen

Comment un auteur de documentaire de création peut-il représenter le sport ? Dans son film, Grand fond, Gilles Weinzaepflen accompagne la route de Jean-Marie Rouault, un véritable athlète de la marche sportive.

Navire Europe, de Marina Déak

Dans une maison à Londres, la réalisatrice Marina Déak interroge sa grand-mère, Trude Levi, rescapée de la Shoah, sur son histoire. Il est trop tard, Trude est devenue une vieille femme, ses souvenirs sont épars, et émergent ici ou là. Suite au décès de sa grand-mère, la réalisatrice se demande comment raconter cette histoire.

Retour à Višegrad, de Julie Biro et Antoine Jaccoud

En avril 1992, la guerre éclate à Višegrad (Est de la Bosnie-Herzégovine), séparant élèves serbes et bosniaques. 25 ans après, l’ex-directeur de l’école et la veuve de l’instituteur, s’engagent sur les routes d’un pays disparu avec
l’espoir de convaincre celles et ceux qu’ils parviendront à retrouver de se réunir à nouveau.

Le château en santé, d’Olivier Bertrand

Dans une très belle bastide en plein cœur d’une cité dévastée, une équipe de jeunes professionnel.les réinventent le soin, en associant des habitantes et habitants.
Le débat est enregistré : vous pouvez l’écouter sur notre Soundcloud.

Les odyssées de Sami, de Robin Dimet

Sami vit à Addis-Abeba, en Éthiopie. Soixantaine, érudit, il vient de terminer une oeuvre colossale : la traduction en amharique de la mythologie gréco-romaine qu’il espère publier…

Ayi, d’Aël Théry et Marine Ottogalli

Venue d’une province rurale de l’est de la Chine, ça fait 20 ans qu’Ayi cuisine dans les rues d’un quartier de Shanghai. Elle n’a pas le permis de résident qui lui permettrait de travailler légalement.

Pour qui danser, de Chrystel Jubien

Un atelier de danse orientale au coeur de la Maison d’arrêt des femmes de Fleury-Mérogis : comment passer d’un corps contraint à un corps dansant.

Malo et les étincelles, de Julie Siboni

Malo a 18 ans, elle est étudiante en ferronnerie dans un lycée technique à Moulins, dans l’Allier.
Les ami·es, les rencontres, les découvertes sont les étincelles qui lui permettent d’avancer et de continuer à rêver.

Tous nos voeux de bonheur, de Céline Dréan

Mes parents se sont mariés dans une chapelle, au petit matin, sans témoins. 50 ans plus tard, en retraçant cette histoire jusqu’ici silencieuse, ils me racontent leur amour interdit.

Le bon grain et l’ivraie, de Manuela Frésil

À Annecy, les enfants de familles déboutées du droit d’asile vivent là leur vie d’enfants. Mais où dormiront-ils ce soir ? Dans un hall de gare ? Dans un centre d’hébergement ?

Ecce ojo, d’Inès Compan

Colombie, deux ans après la signature des accords de paix signés avec les FARC, la violence du conflit se lit toujours sur les visages et les corps des victimes survivantes. Margarita répare les gueules cassées de cette tragédie.

Annonce projection Ahlan Wa Sahlan

Ahlan wa Sahlan, de Lucas Vernier

Entre 2009 et 2011, Lucas Vernier filme en Syrie. Renouant les fils d’une mémoire familiale qui remonte au Mandat français, il se lie à des familles de Palmyre. Après la Révolution, puis la violente répression du régime, il reprend sa caméra.

Monsieur Pigeon, de Antonio Prata

Giuseppe vit dans sa camionnette en plein coeur de Paris et depuis longtemps déjà, il a arrêté de communiquer avec ses semblables.

DROIT dans les yeux, de Marie-Francine Le Jalu

Des visages tout juste sortis de l’enfance, concentrés, incrédules, émus. Ilhame, Vincent, Yara, Rouguy ou Antoine sont étudiants en Droit à l’Université Paris 8 Saint-Denis et bénévoles à « La Clinique Juridique ».

Les Equilibristes, de Perrine Michel

On ne vient pas ici pour guérir, mais pour vivre le plus pleinement possible ses derniers jours. Ici, c’est un service de soins palliatifs.

Ruptures, d’Arthur Gosset

Une génération qui sort des codes, prête à tout pour être à la hauteur des enjeux environnementaux et sociaux de notre époque.

La forêt est à nous, d’Anne Faisandier

Que se passe-t-il dans la forêt morvandelle. Projection suivie d’un débat, lundi 30 novembre à 19h, avec la 25e heure, salle de cinéma virtuelle, et le Luminor.

Vincent et moi, d’Edouard Cuel

Le parcours d’une famille au moment du passage à la majorité d’un jeune homme porteur de trisomie 21.
Projection le samedi 17 février 2018 au Luminor-Hôtel de ville

L’Hippodrome, de Céline Dréan

L’hippodrome de Vincennes se vide peu à peu de son public. Reste le cheval.
Projection le samedi 2 décembre 2017 à 11h au Luminor.

Edouard, mon pote de droite, de Laurent Cibien

Fort de ses convictions de gauche, Laurent Cibien filme depuis plus de 10 ans Édouard Philippe, son pote de droite. Nouvelle formule : les jeudis d’Addoc deviennent les Samedis. Projection le 16 septembre 2017.

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